Again, I do not see the comical part in all this. Several scholars, all of whom leading experts within the subject, accept the inscription as genuine. I even mentioned some of them. Anyways, we will have to wait and see. Scholars are providing their respective evidence on this issue. But I am yet to see your evidence as to why the inscription is a fake. You merely mentioned Umar in a sarcastic manner but did not provide actual evidence.
Dear Mahgraye,
The comical (ironic) part lies in the fact that it is a soldier (Shaddel) who take care of the Zuhayr inscription in writing an article. Nor van Putten, nor Jallad, nor Imbert, (or another...) who hold academic positions. Even Hoyland (who is not an epigraphist) does not
dedicate an article to it. Yet they should have been, as academics, those who should have been written articles about that inscription. Why they did not do it ? Why they just say :"yes, it's genuine" whereas it is their job ? Because they know nothing about the inscription, and they know that they know nothing, i.e, that it could be a fake. They do not want to deal with that risk. So they publish nothing about it. That they say (in tweeter, not a paper) it's "genuine" is not at all in their view the same thing that if they wrote an article (even a draft in academia), they are very aware of that. They do not take any risk to lose credibility if one day something emerges with the evidence that it is a fake. They have not the desire to lose credibility vis à vis their colleagues in being tricked by a fake. Moreover, Imbert has published a note in 2013 about the "Umar" inscriptions in his very interesting article " GRAFFITI ARABES DE CNIDE ET DE KOS" the note is : "Annexe – Note épigraphique sur la découverte récente de graffiti arabes
mentionnant le calife ʿUmar b. al-Ḫaṭṭāb (Najrân, Arabie Saoudite)" In 2015 (CALIFES, PRINCES ET COMPAGNONS DANS LES GRAFFITI DU DEBUT DE L’ISLAM) he said : "
Néanmoins, le cas de cette inscription ne doit pas cacher des mentions des premiers califes qui, elles, sont bien réelles et reconnaissables sur la pierre. En effet, plusieurs graffiti mentionnent ʿUmar b. al-Ḫaṭṭāb, second calife qui régna immédiatement après Abū Bakr, de 13/634 à 24/644. La première inscription citant ʿUmar fut trouvée par le chercheur saoudien A.Ghabban à Qāʿ al-Muʿtadil à l’est d’al-ʿUlā en Arabie. Il s’agit d’un texte à portée purement historique daté de 24/644 : anā Zuhayr katabt zaman tuwuffiya ʿUmar sanat arbaʿ wa ʿišrīn (C’est moi, Zuhayr ! J’ai écrit à l’époque de la mort de ʿUmar, en l’année 24).
Autrement dit, ce graffito est postérieur de seulement 12 ans à la mort du prophète
Muḥammad. Ce texte rare met en correspondance les données épigraphiques avec celle de la
tradition historiographique puisque la gravure de Zuhayr est doublement datée par la mention
de « l’époque de ʿUmar » et par la datation en années (fig. 1). Plus récemment, en 2012, deux
autres graffiti mentionnant le même personnage ont été découverts par nos soins sur le site
d’al-Murakkab près de Najrān au sud de l’Arabie Saoudite10. Le premier, près du sol sur un
rocher isolé, est gravé assez superficiellement : ʿUmar b. al-Ḫaṭṭāb bi-Llāh yaṯiq (ʿUmar b.
al-Ḫaṭṭāb place sa confiance en Dieu) (fig. 2). Plus haut sur le même site, sous un abri
rocheux isolé, c’est une signature, sans doute autographe, que nous avons relevée : ʿUmar b.
al-Ḫaṭṭāb.
Cependant, ces découvertes importantes soulèvent deux épineux problèmes : le
premier touche à la biographie de ce compagnon qui semble ne s’être jamais rendu
officiellement à Najrān durant la période islamique, si l’on s’en tient aux récits rapportés par
la tradition musulmane. D’une manière générale, celle-ci s’étend peu sur les voyages de
ʿUmar avant l’islam, mais elle évoque quelquefois son métier de commerçant et ses
déplacements dans la péninsule Arabique et vers le Yémen notamment 11; rien n’empêcherait
donc qu’il se soit rendu aux environs de Najrān avant sa conversion à l’islam qui aurait eu lieu
à l’âge de 26 ans . Nous mettons de côté l’hypothèse de l’homonymie ancienne bien qu’elle
ne puisse être rejetée radicalement. Les sources arabes classiques ne font pas mention, à une
exception près, de personnages de haute époque qui se seraient appelés ʿUmar b. al-Ḫaṭṭāb
comme le calife Si nous comparons le texte historique de 24/644 avec les deux graffiti
d’al-Murakkab, nous constatons que dans le premier, le personnage (calife et compagnon)
n’est appelé que par la forme restreinte de son nom (ism)ʿUmar. À al-Murakkab, il est gravé
dans une forme plus traditionnelle (ism + nasab), celle que l’on trouve communément dans
les graffiti. Toutefois, dans tous les textes citant ʿUmar, le nom n’est jamais accompagné du
titre d’amīr al-mu’minīn (commandeur des croyants) alors qu’il fut le premier à le porter .
De surcroît aucune eulogie de type raḍiya Llāhʿan-hu (que Dieu soit satisfait de lui)
n’accompagne la mention de son nom, eulogie généralement réservée aux compagnons du
prophète qui trouve son origine dans le Coran. Ceci conforte l’idée d’une mise en place
assez tardive de ce type de formules.
Imbert in 2015 seems more cautious that the Imbert of 2013. You can read the rest of the article about the inscription of the assassination of "Utman" ; one can see that Imbert has well understand that is is a contextualization of Quranic topoi.
At best, these people are not the "caliphs" of Islam, but warlords who have been islamized and canonized as such by the traditional account long time after since they consider that the Quran have one consequence : the conquest. Or fabricated fakes. To me, the result is the same, as they show one way or another that the traditional account asks questions. Since 2015, there's nothing from Imbert about that stuff.
All of this is available on academia...